2005 Scénographie théâtre.s
“Biderman et les incendiaires” de Max Frisch
Mise en scène François Rancillac
Centre Dramatique de Saint Étienne
La Comédie, TNS de Strasbourg
-
Texte : Max Frisch
Mise en scène : François Rancillac
Dramaturgie : Frédérique Révérand
Scénographie : Raymond Sarti
Costumes : Sabine Siegwalt
Lumière : Marie Christine Soma
Son : Michel Maurer
Réalisation des décors : Ateliers de la comédie.
Avec : Louis Bonnet, Jonathan Couzinié, François Font, Shams El Karoui, Jean-Pierre Laurent,
Françoise Lervy et un choeur constitué de comédiens amateurs stéphanois.Production : Comédie de Saint Etienne CDN/ TNS Strasbourg/ Théâtre du Nord Tournée Nationale 2005. -
Monsieur Bonhomme et les Incendiaires ; pièce didactique sans doctrine (Biedermann und die Brandstifter, Lehrstück ohne Lehre) est une pièce de théâtre écrite par l’écrivain suisse Max Frisch1, qui fut jouée pour la première fois au Schauspielhaus de Zurich le 29 mars 1958.
La pièce raconte comment un petit bourgeois, pour se donner bonne conscience, accueille dans son grenier deux incendiaires qui mettent le feu à sa maison puis à la ville entière à la fin de la pièce. Bien que les signes évidents se multiplient tout au long de la pièce, jusqu’à la fin Théodore Bonhomme se voile la face en pensant échapper aux crimes des deux hommes et en tentant de devenir leur ami, allant jusqu’à les inviter à un dîner dans la dernière scène, à la fin duquel il leur donne un paquet d’allumettes comme signe de confiance.
© Photos Raymond Sarti
Dossier projet
2005 Scénographie théâtre.s
“Biderman et les incendiaires”
de Max Frisch
Mise en scène François Rancillac
Centre Dramatique de Saint Étienne
La Comédie, TNS de Strasbourg
-
Texte : Max Frisch
Mise en scène : François Rancillac
Dramaturgie : Frédérique Révérand
Scénographie : Raymond Sarti
Costumes : Sabine Siegwalt
Lumière : Marie Christine Soma
Son : Michel Maurer
Réalisation des décors : Ateliers de la comédie.
Avec : Louis Bonnet, Jonathan Couzinié, François Font, Shams El Karoui, Jean-Pierre Laurent,
Françoise Lervy et un choeur constitué de comédiens amateurs stéphanois.Production : Comédie de Saint Etienne CDN/ TNS Strasbourg/ Théâtre du Nord Tournée Nationale 2005. -
Monsieur Bonhomme et les Incendiaires ; pièce didactique sans doctrine (Biedermann und die Brandstifter, Lehrstück ohne Lehre) est une pièce de théâtre écrite par l’écrivain suisse Max Frisch1, qui fut jouée pour la première fois au Schauspielhaus de Zurich le 29 mars 1958.
La pièce raconte comment un petit bourgeois, pour se donner bonne conscience, accueille dans son grenier deux incendiaires qui mettent le feu à sa maison puis à la ville entière à la fin de la pièce. Bien que les signes évidents se multiplient tout au long de la pièce, jusqu’à la fin Théodore Bonhomme se voile la face en pensant échapper aux crimes des deux hommes et en tentant de devenir leur ami, allant jusqu’à les inviter à un dîner dans la dernière scène, à la fin duquel il leur donne un paquet d’allumettes comme signe de confiance.
© Photos Raymond Sarti
Dossier projet
2005 Scénographie théâtre.s
“Biderman et les incendiaires”
de Max Frisch
Mise en scène François Rancillac
Centre Dramatique de Saint Étienne
La Comédie, TNS de Strasbourg
-
Texte : Max Frisch
Mise en scène : François Rancillac
Dramaturgie : Frédérique Révérand
Scénographie : Raymond Sarti
Costumes : Sabine Siegwalt
Lumière : Marie Christine Soma
Son : Michel Maurer
Réalisation des décors : Ateliers de la comédie.
Avec : Louis Bonnet, Jonathan Couzinié, François Font, Shams El Karoui, Jean-Pierre Laurent,
Françoise Lervy et un choeur constitué de comédiens amateurs stéphanois.Production : Comédie de Saint Etienne CDN/ TNS Strasbourg/ Théâtre du Nord Tournée Nationale 2005. -
Monsieur Bonhomme et les Incendiaires ; pièce didactique sans doctrine (Biedermann und die Brandstifter, Lehrstück ohne Lehre) est une pièce de théâtre écrite par l’écrivain suisse Max Frisch1, qui fut jouée pour la première fois au Schauspielhaus de Zurich le 29 mars 1958.
La pièce raconte comment un petit bourgeois, pour se donner bonne conscience, accueille dans son grenier deux incendiaires qui mettent le feu à sa maison puis à la ville entière à la fin de la pièce. Bien que les signes évidents se multiplient tout au long de la pièce, jusqu’à la fin Théodore Bonhomme se voile la face en pensant échapper aux crimes des deux hommes et en tentant de devenir leur ami, allant jusqu’à les inviter à un dîner dans la dernière scène, à la fin duquel il leur donne un paquet d’allumettes comme signe de confiance.
Dossier projet jklmljmjPresse.s
© Photos Raymond Sarti