1998 Scénographie théâtre.s
“Dialogues d’exilés” de Berthold Brecht
Mise en scène Stéphane Fievet
Théâtre d’Épernay, Scène nationale conventionnée
-
Texte : Berthold Brecht
Mise en scène : Stéphane Fievet et Maija Badia
Scénographie : Raymond Sarti
Lumière : Pierre Peyronnet
Costumes : Annette Tamminen
Construction des décors : Alain Caillat
Avec : Stéphane Fievet, Christian Ruché
Produit par : Terra Incognita, Le Salmanazar -
Deux exilés, Kalle, l’ouvrier, et Ziffel, le physicien, se retrouvent au buffet de la gare d’Helsingfors pour parler, boire des bières, fumer, faire quelques pas, et discuter à perdre haleine ! Tous deux avancent, entre humour et gravité, des considérations politiques très personnelles ; tous deux retrouvent un sens à leur bannissement, dans une parole ouverte et libre, dans une amitié issue de la reconnaissance, de l’altérité. Tous deux jubilent dans une passion commune pour le rejet de l’uniformisation et la pensée critique, de laquelle jaillissent, telles des étincelles, les idées qui nous stimulent toujours autant aujourd’hui.
-
Deux hommes se retrouvent régulièrement, et de façon clandestine en des temps Troublés. Chaque rencontre est prétexte à une réflexion thématique. Ils sont suspectés, surveillés.Les murs ont des oreilles, expression populaire qui servira de socle à la scénographie.
Les murs seront les spectateurs, un dispositif quadri frontal, au centre, nos deux protagonistes, comme dans une arène aux murs pesants.
Les spectateurs, dans un tel dispositif, se verront, face à face, suspicions, regards furtifs, avec toujours dans leur champ visuel, nos deux protagonistes. Le lieu théâtral créera cette tension, l’imprimera dès l’entrée des spectateurs…
© Crédits photographique en cours…
Dossier projet
1998 Scénographie théâtre.s
“Dialogues d’exilés” de Berthold Brecht
Mise en scène Stéphane Fievet
Théâtre d’Épernay, Scène nationale conventionnée
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Texte : Berthold Brecht
Mise en scène : Stéphane Fievet et Maija Badia
Scénographie : Raymond Sarti
Lumière : Pierre Peyronnet
Costumes : Annette Tamminen
Construction des décors : Alain Caillat
Avec : Stéphane Fievet, Christian Ruché
Produit par : Terra Incognita, Le Salmanazar -
Deux exilés, Kalle, l’ouvrier, et Ziffel, le physicien, se retrouvent au buffet de la gare d’Helsingfors pour parler, boire des bières, fumer, faire quelques pas, et discuter à perdre haleine ! Tous deux avancent, entre humour et gravité, des considérations politiques très personnelles ; tous deux retrouvent un sens à leur bannissement, dans une parole ouverte et libre, dans une amitié issue de la reconnaissance, de l’altérité. Tous deux jubilent dans une passion commune pour le rejet de l’uniformisation et la pensée critique, de laquelle jaillissent, telles des étincelles, les idées qui nous stimulent toujours autant aujourd’hui.
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Deux hommes se retrouvent régulièrement, et de façon clandestine en des temps Troublés. Chaque rencontre est prétexte à une réflexion thématique. Ils sont suspectés, surveillés.Les murs ont des oreilles, expression populaire qui servira de socle à la scénographie.
Les murs seront les spectateurs, un dispositif quadri frontal, au centre, nos deux protagonistes, comme dans une arène aux murs pesants.
Les spectateurs, dans un tel dispositif, se verront, face à face, suspicions, regards furtifs, avec toujours dans leur champ visuel, nos deux protagonistes. Le lieu théâtral créera cette tension, l’imprimera dès l’entrée des spectateurs…
© Crédits photographique en cours…
Dossier projet
1998 Scénographie théâtre.s
“Dialogues d’exilés” de Berthold Brecht
Mise en scène Stéphane Fievet
Théâtre d’Épernay
Scène nationale conventionnée
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Texte : Berthold Brecht
Mise en scène : Stéphane Fievet et Maija Badia
Scénographie : Raymond Sarti
Lumière : Pierre Peyronnet
Costumes : Annette Tamminen
Construction des décors : Alain Caillat
Avec : Stéphane Fievet, Christian Ruché
Produit par : Terra Incognita, Le Salmanazar -
Deux exilés, Kalle, l’ouvrier, et Ziffel, le physicien, se retrouvent au buffet de la gare d’Helsingfors pour parler, boire des bières, fumer, faire quelques pas, et discuter à perdre haleine ! Tous deux avancent, entre humour et gravité, des considérations politiques très personnelles ; tous deux retrouvent un sens à leur bannissement, dans une parole ouverte et libre, dans une amitié issue de la reconnaissance, de l’altérité. Tous deux jubilent dans une passion commune pour le rejet de l’uniformisation et la pensée critique, de laquelle jaillissent, telles des étincelles, les idées qui nous stimulent toujours autant aujourd’hui.
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Deux hommes se retrouvent régulièrement, et de façon clandestine en des temps Troublés. Chaque rencontre est prétexte à une réflexion thématique. Ils sont suspectés, surveillés.Les murs ont des oreilles, expression populaire qui servira de socle à la scénographie.
Les murs seront les spectateurs, un dispositif quadri frontal, au centre, nos deux protagonistes, comme dans une arène aux murs pesants.
Les spectateurs, dans un tel dispositif, se verront, face à face, suspicions, regards furtifs, avec toujours dans leur champ visuel, nos deux protagonistes. Le lieu théâtral créera cette tension, l’imprimera dès l’entrée des spectateurs…
Dossier projet jklmljmj
© Crédits photographique en cours…