2007 Scénographie cinéma.s
“Une chanson dans la tête” comédie
Réalisation : Hany Tamba
Long Métrage, Lieux Beyroth / Paris Production Bizibi / Haut et court
-
Réalisation : Hany Tamba
Assistante : Fatma Tarhouni
Scripte : Betty Greffet
Directeur de la photographie : Emmanuel Soyer
Chef Décorateur : Raymond Sarti
Assistantes Kathy Lebrun
Costumes : Caroline Tavernier/ Roula Oueida
Ingénieur son Emmanuel : Zouki/ Sébastien Savine/ Gildas Mercier
Produit par Bizibi Jérôme Bleitrach/ Emmanuel agneray
Production exécutive Sabine Sidawi Hamdam
Production associé Georges Schoucair
Avec: Patrick Chesnais, Pierrette Katrib, Gabriel Yammine, Julia Kassar, Lara Matar, Pierre Chamassian, Maggie Badawi, Majdi Machmouchi… -
Les conditions de tournage n’ont pas pas toujours été faciles, comme le raconte Hany Tamba : “Pendant la préparation, une voiture a explosé pas loin de notre hôtel. L’équipe, dont la plupart des membres français venait pour la première fois au Liban, aurait pu légitimement vouloir rentrer à Paris. Or tout le monde a tenu à rester même si la vague d’attentats s’est poursuivie. Une bombe a notamment explosé près du Sporting Club, petit club balnéaire où nous nous reposions les jours off (…) Nous nous félicitions de ne pas tourner dans le sud où (…) les affrontements entre Hezbollah et Israël sont réguliers. Mais le Nord a été secoué par les combats du camp palestinien de Nahr el Bared. Nous pouvions entendre les bombardements et voir la fumée s’élever depuis nos lieux de tournage. Il fallait interrompre les prises à cause du son“
Hany Tamba justifie son choix de tourner une comédie, en dépit du contexte tendu au Liban : “Pour les Européens, le Liban rime avec guerre, affrontements claniques et crises politiques. On a tendance à penser qu’un cinéaste qui vient du Liban doit s’engager à montrer l’Histoire du pays de façon sérieuse et grave. Les Libanais sont des électrons libres. Ils aiment agir à leur guise (…) Cela dit, au début, comme la plupart des réalisateurs libanais, je voulais, moi aussi, tourner un film néo-réaliste, façon documentaire. Je voyais la société évoluer, Beyrouth se reconstruire avec un centre-ville bourgeois très “Pradaland”, les Libanais endurer cycliquement des périodes de frictions puis se rendormir à nouveau. Capter tout cela me tentait. Mais mon besoin de fantaisie a pris le dessus. Mélanger les genres, avec tendresse pour mon pays, avec un penchant pour l’absurde plutôt que de faire un film “objectif” sur le Liban. -
Dans les années 70, Bruno Caprice a connu un succès éphémère avec Quand tu t’en vas, son premier et unique 45 tours. Aujourd’hui oublié, il gagne sa vie comme réceptionniste dans un grand hôtel parisien. Suite à une rupture sentimentale, Bruno a le blues. Mais un coup de fil inattendu va changer le cours de sa vie : un riche industriel libanais lui propose de venir chanter à Beyrouth. Car au Liban, sa chanson est toujours dans la tête des gens.
© Crédits photographique en cours…
Dossier projet
2007 Scénographie cinéma.s
“Une chanson dans la tête” comédie
Réalisation : Hany Tamba
Long Métrage, Lieux Beyroth / Paris Production Bizibi / Haut et court
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Réalisation : Hany Tamba
Assistante : Fatma Tarhouni
Scripte : Betty Greffet
Directeur de la photographie : Emmanuel Soyer
Chef Décorateur : Raymond Sarti
Assistantes Kathy Lebrun
Costumes : Caroline Tavernier/ Roula Oueida
Ingénieur son Emmanuel : Zouki/ Sébastien Savine/ Gildas Mercier
Produit par Bizibi Jérôme Bleitrach/ Emmanuel agneray
Production exécutive Sabine Sidawi Hamdam
Production associé Georges Schoucair
Avec: Patrick Chesnais, Pierrette Katrib, Gabriel Yammine, Julia Kassar, Lara Matar, Pierre Chamassian, Maggie Badawi, Majdi Machmouchi… -
Les conditions de tournage n’ont pas pas toujours été faciles, comme le raconte Hany Tamba : “Pendant la préparation, une voiture a explosé pas loin de notre hôtel. L’équipe, dont la plupart des membres français venait pour la première fois au Liban, aurait pu légitimement vouloir rentrer à Paris. Or tout le monde a tenu à rester même si la vague d’attentats s’est poursuivie. Une bombe a notamment explosé près du Sporting Club, petit club balnéaire où nous nous reposions les jours off (…) Nous nous félicitions de ne pas tourner dans le sud où (…) les affrontements entre Hezbollah et Israël sont réguliers. Mais le Nord a été secoué par les combats du camp palestinien de Nahr el Bared. Nous pouvions entendre les bombardements et voir la fumée s’élever depuis nos lieux de tournage. Il fallait interrompre les prises à cause du son“
Hany Tamba justifie son choix de tourner une comédie, en dépit du contexte tendu au Liban : “Pour les Européens, le Liban rime avec guerre, affrontements claniques et crises politiques. On a tendance à penser qu’un cinéaste qui vient du Liban doit s’engager à montrer l’Histoire du pays de façon sérieuse et grave. Les Libanais sont des électrons libres. Ils aiment agir à leur guise (…) Cela dit, au début, comme la plupart des réalisateurs libanais, je voulais, moi aussi, tourner un film néo-réaliste, façon documentaire. Je voyais la société évoluer, Beyrouth se reconstruire avec un centre-ville bourgeois très “Pradaland”, les Libanais endurer cycliquement des périodes de frictions puis se rendormir à nouveau. Capter tout cela me tentait. Mais mon besoin de fantaisie a pris le dessus. Mélanger les genres, avec tendresse pour mon pays, avec un penchant pour l’absurde plutôt que de faire un film “objectif” sur le Liban. -
Dans les années 70, Bruno Caprice a connu un succès éphémère avec Quand tu t’en vas, son premier et unique 45 tours. Aujourd’hui oublié, il gagne sa vie comme réceptionniste dans un grand hôtel parisien. Suite à une rupture sentimentale, Bruno a le blues. Mais un coup de fil inattendu va changer le cours de sa vie : un riche industriel libanais lui propose de venir chanter à Beyrouth. Car au Liban, sa chanson est toujours dans la tête des gens.
© Crédits photographique en cours…
Dossier projet
2007 Scénographie cinéma.s
“Une chanson dans la tête” comédie
Réalisation : Hany Tamba
Long Métrage, Lieux Beyroth / Paris Production Bizibi / Haut et court
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Réalisation : Hany Tamba
Assistante : Fatma Tarhouni
Scripte : Betty Greffet
Directeur de la photographie : Emmanuel Soyer
Chef Décorateur : Raymond Sarti
Assistantes Kathy Lebrun
Costumes : Caroline Tavernier/ Roula Oueida
Ingénieur son Emmanuel : Zouki/ Sébastien Savine/ Gildas Mercier
Produit par Bizibi Jérôme Bleitrach/ Emmanuel agneray
Production exécutive Sabine Sidawi Hamdam
Production associé Georges Schoucair
Avec: Patrick Chesnais, Pierrette Katrib, Gabriel Yammine, Julia Kassar, Lara Matar, Pierre Chamassian, Maggie Badawi, Majdi Machmouchi… -
Les conditions de tournage n’ont pas pas toujours été faciles, comme le raconte Hany Tamba : “Pendant la préparation, une voiture a explosé pas loin de notre hôtel. L’équipe, dont la plupart des membres français venait pour la première fois au Liban, aurait pu légitimement vouloir rentrer à Paris. Or tout le monde a tenu à rester même si la vague d’attentats s’est poursuivie. Une bombe a notamment explosé près du Sporting Club, petit club balnéaire où nous nous reposions les jours off (…) Nous nous félicitions de ne pas tourner dans le sud où (…) les affrontements entre Hezbollah et Israël sont réguliers. Mais le Nord a été secoué par les combats du camp palestinien de Nahr el Bared. Nous pouvions entendre les bombardements et voir la fumée s’élever depuis nos lieux de tournage. Il fallait interrompre les prises à cause du son“
Hany Tamba justifie son choix de tourner une comédie, en dépit du contexte tendu au Liban : “Pour les Européens, le Liban rime avec guerre, affrontements claniques et crises politiques. On a tendance à penser qu’un cinéaste qui vient du Liban doit s’engager à montrer l’Histoire du pays de façon sérieuse et grave. Les Libanais sont des électrons libres. Ils aiment agir à leur guise (…) Cela dit, au début, comme la plupart des réalisateurs libanais, je voulais, moi aussi, tourner un film néo-réaliste, façon documentaire. Je voyais la société évoluer, Beyrouth se reconstruire avec un centre-ville bourgeois très “Pradaland”, les Libanais endurer cycliquement des périodes de frictions puis se rendormir à nouveau. Capter tout cela me tentait. Mais mon besoin de fantaisie a pris le dessus. Mélanger les genres, avec tendresse pour mon pays, avec un penchant pour l’absurde plutôt que de faire un film “objectif” sur le Liban. -
Dans les années 70, Bruno Caprice a connu un succès éphémère avec Quand tu t’en vas, son premier et unique 45 tours. Aujourd’hui oublié, il gagne sa vie comme réceptionniste dans un grand hôtel parisien. Suite à une rupture sentimentale, Bruno a le blues. Mais un coup de fil inattendu va changer le cours de sa vie : un riche industriel libanais lui propose de venir chanter à Beyrouth. Car au Liban, sa chanson est toujours dans la tête des gens.
© Crédits photographique en cours…