2014 Scénographie théâtre.s
“Je marche dans la nuit par un chemin mauvais”
de Ahmed Madani
Mise en scène Ahmed Madani
Théâtre de la Tempête, Cartoucherie Paris
-
Texte et mise en scène : Ahmed Madani
Scénographie : Raymond Sarti
Création sonore : Christophe Séchet
Création lumières et régie générale : Damien Klein
Création vidéo : Nicolas Clauss
Création costumes : Karen Serreau
Avec : Vincent Dedienne et Yves Graffey
L’auteur a bénéficié pour l’écriture de cette pièce du soutien du Centre National du Livre.
Texte édité par Actes Sud-Papiers (janvier 2014).
Production :
Madani Compagnie, conventionnée par le Ministère de la Culture et de la
Communication – DRAC Ile-de-France et la Région Ile-de-France
En Coproduction avec
Quai des Arts d’Argentan dans le cadre des Relais Culturels Régionaux,
Comédie de Picardie
Avec le soutien de la CCAS, de la Nacelle à Aubergenville, du Fonds SACD Théâtre, du Conseil
Général des Yvelines, de la Ville de Paris.
En Co réalisation avec le Théâtre de la Tempête -
Après une dispute avec son père, Gus est envoyé chez son grand-père, Pierre, à Argentan, autant dire la cambrousse pour cet ado branché.
Chez Pierre, pas de télé, pas de connexion, pas de jeux vidéo… et en plus il faut se lever tôt et bosser au jardin si on veut manger. Pas la joie !
Mais Gus est coriace, il ne fera rien ! Ce qu’il ne sait pas c’est que Pierre est encore plus coriace que lui. Il se demande toutefois si on ne lui a pas envoyé Gus pour veiller sur lui, dont la mémoire flanche et ça ne lui plaît guère.
La rencontre entre ses deux personnages, tout d’abord explosive va progressivement se pacifier. L’incommunicabilité va laisser place à une complicité franche entre deux personnes au bord du gouffre, au crépuscule de deux âges et aux destinées bien différentes : une vie à construire pour Gus et une vie à raconter pour Pierre, avec notamment l’épisode douloureux de la Guerre d’Algérie qui a bien du mal à passer et qui devient l’élément central de la pièce… -
(…) Chez Pierre. Clairement défini comme un huis-clos qui comporte néanmoins un intérieur et un extérieur (maison / jardin). Il est un espace concret rural (« Argentan dans la brousse ») qui s’oppose à l’espace urbain esquissé d’où Gus vient. Le jardin a également une dimension clairement métaphorique (le débroussaillage). Interviennent des lieux réels de fuite (la fugue) et des lieux de refuge fantasmés (l’Australie, Amsterdam) avec toutes leurs connotations.
Dans la pièce Je marche dans la nuit par un chemin mauvais, le lieu est à la fois réaliste et métaphorique (chacun y « débroussaille » sa vie). Alors un lieu de rencontre, une maison, un jardin (…)
© Photos François Louis Athénas
Dossier projet
2014 Scénographie théâtre.s
“Je marche dans la nuit par un chemin mauvais”
de Ahmed Madani
Mise en scène Ahmed Madani
Théâtre de la Tempête, Cartoucherie Paris
-
Texte et mise en scène : Ahmed Madani
Scénographie : Raymond Sarti
Création sonore : Christophe Séchet
Création lumières et régie générale : Damien Klein
Création vidéo : Nicolas Clauss
Création costumes : Karen Serreau
Avec : Vincent Dedienne et Yves Graffey
L’auteur a bénéficié pour l’écriture de cette pièce du soutien du Centre National du Livre.
Texte édité par Actes Sud-Papiers (janvier 2014).
Production :
Madani Compagnie, conventionnée par le Ministère de la Culture et de la
Communication – DRAC Ile-de-France et la Région Ile-de-France
En Coproduction avec
Quai des Arts d’Argentan dans le cadre des Relais Culturels Régionaux,
Comédie de Picardie
Avec le soutien de la CCAS, de la Nacelle à Aubergenville, du Fonds SACD Théâtre, du Conseil
Général des Yvelines, de la Ville de Paris.
En Co réalisation avec le Théâtre de la Tempête -
Après une dispute avec son père, Gus est envoyé chez son grand-père, Pierre, à Argentan, autant dire la cambrousse pour cet ado branché.
Chez Pierre, pas de télé, pas de connexion, pas de jeux vidéo… et en plus il faut se lever tôt et bosser au jardin si on veut manger. Pas la joie !
Mais Gus est coriace, il ne fera rien ! Ce qu’il ne sait pas c’est que Pierre est encore plus coriace que lui. Il se demande toutefois si on ne lui a pas envoyé Gus pour veiller sur lui, dont la mémoire flanche et ça ne lui plaît guère.
La rencontre entre ses deux personnages, tout d’abord explosive va progressivement se pacifier. L’incommunicabilité va laisser place à une complicité franche entre deux personnes au bord du gouffre, au crépuscule de deux âges et aux destinées bien différentes : une vie à construire pour Gus et une vie à raconter pour Pierre, avec notamment l’épisode douloureux de la Guerre d’Algérie qui a bien du mal à passer et qui devient l’élément central de la pièce… -
(…) Chez Pierre. Clairement défini comme un huis-clos qui comporte néanmoins un intérieur et un extérieur (maison / jardin). Il est un espace concret rural (« Argentan dans la brousse ») qui s’oppose à l’espace urbain esquissé d’où Gus vient. Le jardin a également une dimension clairement métaphorique (le débroussaillage). Interviennent des lieux réels de fuite (la fugue) et des lieux de refuge fantasmés (l’Australie, Amsterdam) avec toutes leurs connotations.
Dans la pièce Je marche dans la nuit par un chemin mauvais, le lieu est à la fois réaliste et métaphorique (chacun y « débroussaille » sa vie). Alors un lieu de rencontre, une maison, un jardin (…)
© Photos François Louis Athénas
Dossier projet
2014 Scénographie théâtre.s
“Je marche dans la nuit par un chemin mauvais” de Ahmed Madani
Mise en scène Ahmed Madani
Théâtre de la Tempête, Cartoucherie Paris
-
Texte et mise en scène : Ahmed Madani
Scénographie : Raymond Sarti
Création sonore : Christophe Séchet
Création lumières et régie générale : Damien Klein
Création vidéo : Nicolas Clauss
Création costumes : Karen Serreau
Avec : Vincent Dedienne et Yves Graffey
L’auteur a bénéficié pour l’écriture de cette pièce du soutien du Centre National du Livre.
Texte édité par Actes Sud-Papiers (janvier 2014).
Production :
Madani Compagnie, conventionnée par le Ministère de la Culture et de la
Communication – DRAC Ile-de-France et la Région Ile-de-France
En Coproduction avec
Quai des Arts d’Argentan dans le cadre des Relais Culturels Régionaux,
Comédie de Picardie
Avec le soutien de la CCAS, de la Nacelle à Aubergenville, du Fonds SACD Théâtre, du Conseil
Général des Yvelines, de la Ville de Paris.
En Co réalisation avec le Théâtre de la Tempête -
Après une dispute avec son père, Gus est envoyé chez son grand-père, Pierre, à Argentan, autant dire la cambrousse pour cet ado branché.
Chez Pierre, pas de télé, pas de connexion, pas de jeux vidéo… et en plus il faut se lever tôt et bosser au jardin si on veut manger. Pas la joie !
Mais Gus est coriace, il ne fera rien ! Ce qu’il ne sait pas c’est que Pierre est encore plus coriace que lui. Il se demande toutefois si on ne lui a pas envoyé Gus pour veiller sur lui, dont la mémoire flanche et ça ne lui plaît guère.
La rencontre entre ses deux personnages, tout d’abord explosive va progressivement se pacifier. L’incommunicabilité va laisser place à une complicité franche entre deux personnes au bord du gouffre, au crépuscule de deux âges et aux destinées bien différentes : une vie à construire pour Gus et une vie à raconter pour Pierre, avec notamment l’épisode douloureux de la Guerre d’Algérie qui a bien du mal à passer et qui devient l’élément central de la pièce… -
(…) Chez Pierre. Clairement défini comme un huis-clos qui comporte néanmoins un intérieur et un extérieur (maison / jardin). Il est un espace concret rural (« Argentan dans la brousse ») qui s’oppose à l’espace urbain esquissé d’où Gus vient. Le jardin a également une dimension clairement métaphorique (le débroussaillage). Interviennent des lieux réels de fuite (la fugue) et des lieux de refuge fantasmés (l’Australie, Amsterdam) avec toutes leurs connotations.
Dans la pièce Je marche dans la nuit par un chemin mauvais, le lieu est à la fois réaliste et métaphorique (chacun y « débroussaille » sa vie). Alors un lieu de rencontre, une maison, un jardin (…)
Dossier projet jklmljmjPresse.s
© Photos François Louis Athénas