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Mise en scène : Christian Lucas
Conception et écriture : Nikolaus, Jörg Müller, Christian Lucas
Assistante mise en scène : Ivika Meister
Scénographie : Raymond Sarti
Création lumière : Hervé Gary
Musique : Olivier Manoury
Régie lumière : Donald Debert
Construction des décors : Olivier Gauducheau, Almut Holtz
Avec : NIKOLAUS, Jörg Müller, Olivier Manoury
Production : Pré-O-Coupé -
Entre théâtre, danse et jonglerie «Arbeit» démarre presque dans le vide. Au beau milieu d’une usine d’emballage, Kunz (alias Nikolaus) apparaît voguant sur une palette, ou bien est-ce un radeau ? Un homme en bleu de travail organise sa rencontre avec Hinz (alias Jörg Müller). Cet ouvrier du temps n’est autre que le musicien Olivier Manoury, dont l’instrument marque la cadence de cette pièce très rythmée.
Perdus dans le désert de leur solitude, Hinz et Kunz voudraient se rapprocher mais la communication est difficile.
Jusqu’à ce que s’établisse un jeu de miroir, chacun trouvant en l’autre le reflet de sa propre personne lui donnant ainsi une définition, une consistance.
Défiant les lois de la gravité et de la pesanteur, les deux acteurs utilisent l’art de la jonglerie comme métaphore pour exprimer leurs doutes existentiels.
Par une exceptionnelle maîtrise des objets, ils semblent vouloir conjurer leur peur de la chute, leur hantise de la mort. Un spectacle plein de poésie, d’amour et de violence, d’adresse clownesque et de comique.
Le cirque dans toute sa densité.
© Crédits photographique en cours
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Mise en scène : Christian Lucas
Conception et écriture : Nikolaus, Jörg Müller, Christian Lucas
Assistante mise en scène : Ivika Meister
Scénographie : Raymond Sarti
Création lumière : Hervé Gary
Musique : Olivier Manoury
Régie lumière : Donald Debert
Construction des décors : Olivier Gauducheau, Almut Holtz
Avec : NIKOLAUS, Jörg Müller, Olivier Manoury
Production : Pré-O-Coupé -
Entre théâtre, danse et jonglerie «Arbeit» démarre presque dans le vide. Au beau milieu d’une usine d’emballage, Kunz (alias Nikolaus) apparaît voguant sur une palette, ou bien est-ce un radeau ? Un homme en bleu de travail organise sa rencontre avec Hinz (alias Jörg Müller). Cet ouvrier du temps n’est autre que le musicien Olivier Manoury, dont l’instrument marque la cadence de cette pièce très rythmée.
Perdus dans le désert de leur solitude, Hinz et Kunz voudraient se rapprocher mais la communication est difficile.
Jusqu’à ce que s’établisse un jeu de miroir, chacun trouvant en l’autre le reflet de sa propre personne lui donnant ainsi une définition, une consistance.
Défiant les lois de la gravité et de la pesanteur, les deux acteurs utilisent l’art de la jonglerie comme métaphore pour exprimer leurs doutes existentiels.
Par une exceptionnelle maîtrise des objets, ils semblent vouloir conjurer leur peur de la chute, leur hantise de la mort. Un spectacle plein de poésie, d’amour et de violence, d’adresse clownesque et de comique.
Le cirque dans toute sa densité.
© Crédits photographique en cours…
Dossier projet
2002 Scénographie Art.s de la scène
“Arbeit, Hinz et Kunz”
Conception Nikolaus, Jörg Müller, Christian Lucas
Mise en scène Christian Lucas
Cirque Manège de Reims
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Mise en scène : Christian Lucas
Conception et écriture : Nikolaus, Jörg Müller, Christian Lucas
Assistante mise en scène : Ivika Meister
Scénographie : Raymond Sarti
Création lumière : Hervé Gary
Musique : Olivier Manoury
Régie lumière : Donald Debert
Construction des décors : Olivier Gauducheau, Almut Holtz
Avec : NIKOLAUS, Jörg Müller, Olivier Manoury
Production : Pré-O-Coupé -
Entre théâtre, danse et jonglerie «Arbeit» démarre presque dans le vide. Au beau milieu d’une usine d’emballage, Kunz (alias Nikolaus) apparaît voguant sur une palette, ou bien est-ce un radeau ? Un homme en bleu de travail organise sa rencontre avec Hinz (alias Jörg Müller). Cet ouvrier du temps n’est autre que le musicien Olivier Manoury, dont l’instrument marque la cadence de cette pièce très rythmée.
Perdus dans le désert de leur solitude, Hinz et Kunz voudraient se rapprocher mais la communication est difficile.
Jusqu’à ce que s’établisse un jeu de miroir, chacun trouvant en l’autre le reflet de sa propre personne lui donnant ainsi une définition, une consistance.
Défiant les lois de la gravité et de la pesanteur, les deux acteurs utilisent l’art de la jonglerie comme métaphore pour exprimer leurs doutes existentiels.
Par une exceptionnelle maîtrise des objets, ils semblent vouloir conjurer leur peur de la chute, leur hantise de la mort. Un spectacle plein de poésie, d’amour et de violence, d’adresse clownesque et de comique.
Le cirque dans toute sa densité.
© Crédits photographique en cours…