2013 Scénographie théâtre.s
“Ma mère qui chantait sur un phare”
de Gilles Granouillet
Mise en scène François Rancillac
Théâtre de l’Aquarium Cartoucherie, Paris
-
Mise en scène : François Rancillac.
Assistante : Lucile Perrain.
Scénographie : Raymond Sarti
Costumes : Cidalia Da Costa
Son : Michel Maurer
Danse : Israël Sanchez Gonzalès
Lumière : Marie Christine Soma
Régie générale : Pierre Godefroy
avec :
Patrick Azam, le Père / Anthony Breurec, Perpignan / Antoine Caubet, le Conducteur d’engin / Riad Gahmi,
Marzeille / Pauline Laidet, la Fille / Françoise Lervy, Marie, la Femme du conducteur d’engin toute l’équipe de création : Laurent Grappe, régisseur plateau, régie lumière Manon Lauriol et Eric Marynower,
régie son Frédéric Schmitt / Réalisation machinerie Dominique Fortin, Pierre Godefroy, Tonio Rodriguez /
Peinture Francis Gingembre et Olivier Spinelli / Accessoires Vera Martins / Costumes réalisés avec Anne
Yermola / Habillage Anna Rizza / Matériau voix Isabelle Duthoit
La pièce a reçu le prix des Journées des auteurs de Lyon et l’Aide à la création dramatique du Ministère de la Culture (Centre National du Théâtre).
Équipe de création : Laurent Grappe, régisseur plateau, régie lumière Manon Lauriol et (à partir du 20 janvier) Eric Marynower, régie son Frédéric Schmitt / Réalisation machinerie Dominique Fortin, Pierre Godefroy, Tonio Rodriguez / Peinture Francis Gingembre et Olivier Spinelli / Accessoires Vera Martins / Costumes réalisés avec Anne Yermola / Habillage Anna Rizza / Matériau voix Isabelle Duthoit
Production Théâtre de l’Aquarium / Le Carré – Scène nationale de Château Gontier /
La Comédie de Caen – Centre dramatique national de Normandie / Le Fracas – Centre dramatique national de Montluçon – Région Auvergne. Avec l’aide à la production d’Arcadi. Avec l’Aide à la création dramatique du Centre National du Théâtre et l’aide à la création de la DGCA – Ministère de la Culture et de la Communication. -
Quelque part, au bord d’une mer sans plage ni touriste… Marzeille et Perpignan (13 et 10 ans) découvrent ce matin-là que leur mère a encore crisé : grimpée au sommet du phare, elle chante à tue-tête sa douleur face à l’océan, ivre et dépoilée, zieutée d’en bas par tous les gars du village !… Comment sauver maman de la honte et de la folie ?!
Ainsi démarre pour les deux frérots une journée épique et héroïque, avec ange blond et Bon Dieu en personne, chiots à noyer et grenouille à percer, bulldozer et cerbère, rebondissements et révélations. Tissant avec virtuosité récit et théâtre, Gilles Granouillet réussit à nous (re)faire voir le monde à hauteur d’enfant, quand le merveilleux côtoie encore l’âpre réalité. Les péripéties totalement frappadingues de ces deux gamins pour recoller les morceaux d’une famille dessoudée, sont évidemment autant d’étapes d’un conte initiatique en filigrane : non pour devenir « grands » (tant les adultes appelés à la rescousse semblent ici désemparés…) ; mais pour comprendre que vivre, c’est d’abord apprendre à être seul. -
(…) Comme une cabane enfantine, un espace qui s’effeuille, qui se déchire, puis un à un tombent les pans de vie, pour laisser place aux rêveries sur une mer onirique, nous sommes dans un conte…(…)
© Crédits photographique en cours…
Dossier projet
2013 Scénographie théâtre.s
“Ma mère qui chantait sur un phare”
de Gilles Granouillet
Mise en scène François Rancillac
Théâtre de l’Aquarium Cartoucherie, Paris
-
Mise en scène : François Rancillac.
Assistante : Lucile Perrain.
Scénographie : Raymond Sarti
Costumes : Cidalia Da Costa
Son : Michel Maurer
Danse : Israël Sanchez Gonzalès
Lumière : Marie Christine Soma
Régie générale : Pierre Godefroy
avec :
Patrick Azam, le Père / Anthony Breurec, Perpignan / Antoine Caubet, le Conducteur d’engin / Riad Gahmi,
Marzeille / Pauline Laidet, la Fille / Françoise Lervy, Marie, la Femme du conducteur d’engin toute l’équipe de création : Laurent Grappe, régisseur plateau, régie lumière Manon Lauriol et Eric Marynower,
régie son Frédéric Schmitt / Réalisation machinerie Dominique Fortin, Pierre Godefroy, Tonio Rodriguez /
Peinture Francis Gingembre et Olivier Spinelli / Accessoires Vera Martins / Costumes réalisés avec Anne
Yermola / Habillage Anna Rizza / Matériau voix Isabelle Duthoit
La pièce a reçu le prix des Journées des auteurs de Lyon et l’Aide à la création dramatique du Ministère de la Culture (Centre National du Théâtre).
Équipe de création : Laurent Grappe, régisseur plateau, régie lumière Manon Lauriol et (à partir du 20 janvier) Eric Marynower, régie son Frédéric Schmitt / Réalisation machinerie Dominique Fortin, Pierre Godefroy, Tonio Rodriguez / Peinture Francis Gingembre et Olivier Spinelli / Accessoires Vera Martins / Costumes réalisés avec Anne Yermola / Habillage Anna Rizza / Matériau voix Isabelle Duthoit
Production Théâtre de l’Aquarium / Le Carré – Scène nationale de Château Gontier /
La Comédie de Caen – Centre dramatique national de Normandie / Le Fracas – Centre dramatique national de Montluçon – Région Auvergne. Avec l’aide à la production d’Arcadi. Avec l’Aide à la création dramatique du Centre National du Théâtre et l’aide à la création de la DGCA – Ministère de la Culture et de la Communication. -
Quelque part, au bord d’une mer sans plage ni touriste… Marzeille et Perpignan (13 et 10 ans) découvrent ce matin-là que leur mère a encore crisé : grimpée au sommet du phare, elle chante à tue-tête sa douleur face à l’océan, ivre et dépoilée, zieutée d’en bas par tous les gars du village !… Comment sauver maman de la honte et de la folie ?!
Ainsi démarre pour les deux frérots une journée épique et héroïque, avec ange blond et Bon Dieu en personne, chiots à noyer et grenouille à percer, bulldozer et cerbère, rebondissements et révélations. Tissant avec virtuosité récit et théâtre, Gilles Granouillet réussit à nous (re)faire voir le monde à hauteur d’enfant, quand le merveilleux côtoie encore l’âpre réalité. Les péripéties totalement frappadingues de ces deux gamins pour recoller les morceaux d’une famille dessoudée, sont évidemment autant d’étapes d’un conte initiatique en filigrane : non pour devenir « grands » (tant les adultes appelés à la rescousse semblent ici désemparés…) ; mais pour comprendre que vivre, c’est d’abord apprendre à être seul. -
(…) Comme une cabane enfantine, un espace qui s’effeuille, qui se déchire, puis un à un tombent les pans de vie, pour laisser place aux rêveries sur une mer onirique, nous sommes dans un conte…(…)
© Crédits photographique en cours…
Dossier projet
2013 Scénographie théâtre.s
“Ma mère qui chantait sur un phare”
de Gilles Granouillet
Mise en scène François Rancillac
Théâtre de l’Aquarium Cartoucherie, Paris
-
Mise en scène : François Rancillac.
Assistante : Lucile Perrain.
Scénographie : Raymond Sarti
Costumes : Cidalia Da Costa
Son : Michel Maurer
Danse : Israël Sanchez Gonzalès
Lumière : Marie Christine Soma
Régie générale : Pierre Godefroy
avec :
Patrick Azam, le Père / Anthony Breurec, Perpignan / Antoine Caubet, le Conducteur d’engin / Riad Gahmi,
Marzeille / Pauline Laidet, la Fille / Françoise Lervy, Marie, la Femme du conducteur d’engin toute l’équipe de création : Laurent Grappe, régisseur plateau, régie lumière Manon Lauriol et Eric Marynower,
régie son Frédéric Schmitt / Réalisation machinerie Dominique Fortin, Pierre Godefroy, Tonio Rodriguez /
Peinture Francis Gingembre et Olivier Spinelli / Accessoires Vera Martins / Costumes réalisés avec Anne
Yermola / Habillage Anna Rizza / Matériau voix Isabelle Duthoit
La pièce a reçu le prix des Journées des auteurs de Lyon et l’Aide à la création dramatique du Ministère de la Culture (Centre National du Théâtre).
Équipe de création : Laurent Grappe, régisseur plateau, régie lumière Manon Lauriol et (à partir du 20 janvier) Eric Marynower, régie son Frédéric Schmitt / Réalisation machinerie Dominique Fortin, Pierre Godefroy, Tonio Rodriguez / Peinture Francis Gingembre et Olivier Spinelli / Accessoires Vera Martins / Costumes réalisés avec Anne Yermola / Habillage Anna Rizza / Matériau voix Isabelle Duthoit
Production Théâtre de l’Aquarium / Le Carré – Scène nationale de Château Gontier /
La Comédie de Caen – Centre dramatique national de Normandie / Le Fracas – Centre dramatique national de Montluçon – Région Auvergne. Avec l’aide à la production d’Arcadi. Avec l’Aide à la création dramatique du Centre National du Théâtre et l’aide à la création de la DGCA – Ministère de la Culture et de la Communication. -
Quelque part, au bord d’une mer sans plage ni touriste… Marzeille et Perpignan (13 et 10 ans) découvrent ce matin-là que leur mère a encore crisé : grimpée au sommet du phare, elle chante à tue-tête sa douleur face à l’océan, ivre et dépoilée, zieutée d’en bas par tous les gars du village !… Comment sauver maman de la honte et de la folie ?!
Ainsi démarre pour les deux frérots une journée épique et héroïque, avec ange blond et Bon Dieu en personne, chiots à noyer et grenouille à percer, bulldozer et cerbère, rebondissements et révélations. Tissant avec virtuosité récit et théâtre, Gilles Granouillet réussit à nous (re)faire voir le monde à hauteur d’enfant, quand le merveilleux côtoie encore l’âpre réalité. Les péripéties totalement frappadingues de ces deux gamins pour recoller les morceaux d’une famille dessoudée, sont évidemment autant d’étapes d’un conte initiatique en filigrane : non pour devenir « grands » (tant les adultes appelés à la rescousse semblent ici désemparés…) ; mais pour comprendre que vivre, c’est d’abord apprendre à être seul. -
(…) Comme une cabane enfantine, un espace qui s’effeuille, qui se déchire, puis un à un tombent les pans de vie, pour laisser place aux rêveries sur une mer onirique, nous sommes dans un conte…(…)
Dossier projet jklmljmjPresse.s
© Crédits photographique en cours…