2001 Scénographie théâtre.s
“Divertissement Bourgeois” de Eugène Durif
Mise en scène Eugène Durif
Théâtre de Dijon
-
Texte : Eugène Durif
Mise en scène : Catherine Beau, Eugène Durif
Musiciens : Antoine Rosset, Jean-Christophe Cornier, Jean-Marie Gérintes
Musique : Antoine Rosset, Jean-Marie Gérintes, Jean-Christophe Cornier
Conseiller de la chorégraphie : Roberto Castello
Scénographie : Raymond Sarti Lumière : Toto
Costumes : Régina Martino
Avec : John Arnold, Christophe Casamance, Stéphanie Marc, Catherine Beau
Théâtre Dijon Bourgog -
Étienne et Sophie, un huissier et sa femme dans une petite ville de province.
Ils sont de gauche comme il faut, aiment l’art et sont épris de beauté et de distinction.
Ils pratiquent, en amateurs éclairés, théâtre et musique baroques et, pour eux, la culture est une valeur sûre qui leur garantit un ” supplément d’âme “.
Ils ont parfois des passages à vide mais ne s’en aperçoivent pas trop car tout se noie dans le vide généralisé d’une existence bien meublée. Ils attendent un grand metteur en scène qui doit venir faire un stage-réalisation autour du ” bourgeois gentilhomme ” (dans sa version intégrale). Mais c’est Antoine qui arrive : un cadre au chômage qui va être, sous peu, l’objet d’une saisie. S’ensuivent quiproquos et malentendus orchestrés de main de maîtresse par Bernadette, une servante moliéresque et facétieuse.
Tout commence, se poursuit et finit par des chansons dans cette comédie – qui emprunte aussi au vaudeville et à la farce – avec musique et musiciens et qui aurait pu s’appeler aussi ” Le bourgeois-artiste “.
© Crédits photographique en cours…
Dossier projet
2001 Scénographie théâtre.s
“Divertissement Bourgeois” de Eugène Durif
Mise en scène Eugène Durif
Théâtre de Dijon
-
Texte : Eugène Durif
Mise en scène : Catherine Beau, Eugène Durif
Musiciens : Antoine Rosset, Jean-Christophe Cornier, Jean-Marie Gérintes
Musique : Antoine Rosset, Jean-Marie Gérintes, Jean-Christophe Cornier
Conseiller de la chorégraphie : Roberto Castello
Scénographie : Raymond Sarti Lumière : Toto
Costumes : Régina Martino
Avec : John Arnold, Christophe Casamance, Stéphanie Marc, Catherine Beau
Théâtre Dijon Bourgog -
Étienne et Sophie, un huissier et sa femme dans une petite ville de province.
Ils sont de gauche comme il faut, aiment l’art et sont épris de beauté et de distinction.
Ils pratiquent, en amateurs éclairés, théâtre et musique baroques et, pour eux, la culture est une valeur sûre qui leur garantit un ” supplément d’âme “.
Ils ont parfois des passages à vide mais ne s’en aperçoivent pas trop car tout se noie dans le vide généralisé d’une existence bien meublée. Ils attendent un grand metteur en scène qui doit venir faire un stage-réalisation autour du ” bourgeois gentilhomme ” (dans sa version intégrale). Mais c’est Antoine qui arrive : un cadre au chômage qui va être, sous peu, l’objet d’une saisie. S’ensuivent quiproquos et malentendus orchestrés de main de maîtresse par Bernadette, une servante moliéresque et facétieuse.
Tout commence, se poursuit et finit par des chansons dans cette comédie – qui emprunte aussi au vaudeville et à la farce – avec musique et musiciens et qui aurait pu s’appeler aussi ” Le bourgeois-artiste “.
© Crédits photographique en cours…
Dossier projet
“Divertissement Bourgeois”
de Eugène Durif
Mise en scène Eugène Durif
Théâtre de Dijon
-
Texte : Eugène Durif
Mise en scène : Catherine Beau, Eugène Durif
Musiciens : Antoine Rosset, Jean-Christophe Cornier, Jean-Marie Gérintes
Musique : Antoine Rosset, Jean-Marie Gérintes, Jean-Christophe Cornier
Conseiller de la chorégraphie : Roberto Castello
Scénographie : Raymond Sarti Lumière : Toto
Costumes : Régina Martino
Avec : John Arnold, Christophe Casamance, Stéphanie Marc, Catherine Beau
Théâtre Dijon Bourgog -
Étienne et Sophie, un huissier et sa femme dans une petite ville de province.
Ils sont de gauche comme il faut, aiment l’art et sont épris de beauté et de distinction.
Ils pratiquent, en amateurs éclairés, théâtre et musique baroques et, pour eux, la culture est une valeur sûre qui leur garantit un ” supplément d’âme “.
Ils ont parfois des passages à vide mais ne s’en aperçoivent pas trop car tout se noie dans le vide généralisé d’une existence bien meublée. Ils attendent un grand metteur en scène qui doit venir faire un stage-réalisation autour du ” bourgeois gentilhomme ” (dans sa version intégrale). Mais c’est Antoine qui arrive : un cadre au chômage qui va être, sous peu, l’objet d’une saisie. S’ensuivent quiproquos et malentendus orchestrés de main de maîtresse par Bernadette, une servante moliéresque et facétieuse.
Tout commence, se poursuit et finit par des chansons dans cette comédie – qui emprunte aussi au vaudeville et à la farce – avec musique et musiciens et qui aurait pu s’appeler aussi ” Le bourgeois-artiste “.
Dossier projet jklmljmjPresse.s
© Crédits photographique en cours…