2017 Scénographie théâtre.s
“Juste la fin du monde” de Jean Luc Lagarce
Mise en scène Jean Charles Mouveaux
Studio Théâtre Hébertot, Paris
-
Mise en scène : Jean-Charles Mouveaux
Assistante : Esther Ebbo
Avec : Vanessa Cailhol, Philippe Calvario, Jil Caplan, Jean-Charles Mouveaux,
Chantal Trichet
Scénographie : Raymond Sarti
Costumes : Michel Dussarrat
Lumières : Ivan Morane
Produit par Bernard Serf
Production : LEDN-l’Equipe de nuit
Coproduction Comme en 14 -
Une si longue absence…
Dans sa langue si particulière, sa musicalité qui envoûte, Jean Luc Lagarce
nous invite aux retrouvailles de Louis avec sa famille. Un récit sur la difficulté de
communiquer, une palette de personnages blessés, humains, follement attachants (…) Louis est à la fois le fils et le narrateur, proche et lointain, il porte cette tentative de réconciliation qui nous bouscule, nous bouleverse, qui nous renvoie à nos propres fêlures, nos attentes secrètes. La langue de Lagarce est répétitive, lancinante, fascinante. Il faut se laisser porter sur la crête de cette partition magnifiquement interprétée par des acteurs en état de grâce. -
(…) Concevoir un paysage intérieur, une mise en abime se jouant de reflets dans le noir lumineux d’une traversée de vie.
Soit un dispositif simple, à partir d’objets du quotidien, quelques tables, qui sont tout à tour évocateurs des reliefs d’un paysage, des souvenirs de tablées familiales…
Les fantômes sont de retour. (…).
© Photos Chantal Depagne
Dossier projet
2017 Scénographie théâtre.s
“Juste la fin du monde” de Jean Luc Lagarce
Mise en scène Jean Charles Mouveaux
Studio Théâtre Hébertot, Paris
-
Mise en scène : Jean-Charles Mouveaux
Assistante : Esther Ebbo
Avec : Vanessa Cailhol, Philippe Calvario, Jil Caplan, Jean-Charles Mouveaux,
Chantal Trichet
Scénographie : Raymond Sarti
Costumes : Michel Dussarrat
Lumières : Ivan Morane
Produit par Bernard Serf
Production : LEDN-l’Equipe de nuit
Coproduction Comme en 14 -
Une si longue absence…
Dans sa langue si particulière, sa musicalité qui envoûte, Jean Luc Lagarce
nous invite aux retrouvailles de Louis avec sa famille. Un récit sur la difficulté de
communiquer, une palette de personnages blessés, humains, follement attachants (…) Louis est à la fois le fils et le narrateur, proche et lointain, il porte cette tentative de réconciliation qui nous bouscule, nous bouleverse, qui nous renvoie à nos propres fêlures, nos attentes secrètes. La langue de Lagarce est répétitive, lancinante, fascinante. Il faut se laisser porter sur la crête de cette partition magnifiquement interprétée par des acteurs en état de grâce. -
(…) Concevoir un paysage intérieur, une mise en abime se jouant de reflets dans le noir lumineux d’une traversée de vie.
Soit un dispositif simple, à partir d’objets du quotidien, quelques tables, qui sont tout à tour évocateurs des reliefs d’un paysage, des souvenirs de tablées familiales…
Les fantômes sont de retour. (…).
© Photos Chantal Depagne
Dossier projet
2017 Scénographie théâtre.s
“Juste la fin du monde”
de Jean Luc Lagarce
Mise en scène Jean Charles Mouveaux, Studio Théâtre Hébertot Paris
-
Mise en scène : Jean-Charles Mouveaux
Assistante : Esther Ebbo
Avec : Vanessa Cailhol, Philippe Calvario, Jil Caplan, Jean-Charles Mouveaux,
Chantal Trichet
Scénographie : Raymond Sarti
Costumes : Michel Dussarrat
Lumières : Ivan Morane
Produit par Bernard Serf
Production : LEDN-l’Equipe de nuit
Coproduction Comme en 14 -
Une si longue absence…
Dans sa langue si particulière, sa musicalité qui envoûte, Jean Luc Lagarce
nous invite aux retrouvailles de Louis avec sa famille. Un récit sur la difficulté de communiquer, une palette de personnages blessés, humains, follement attachants (…) Louis est à la fois le fils et le narrateur, proche et lointain, il porte cette tentative de réconciliation qui nous bouscule, nous bouleverse, qui nous renvoie à nos propres fêlures, nos attentes secrètes. La langue de Lagarce est répétitive, lancinante, fascinante. Il faut se laisser porter sur la crête de cette partition magnifiquement interprétée par des acteurs en état de grâce. -
(…) Concevoir un paysage intérieur, une mise en abime se jouant de reflets dans le noir lumineux d’une traversée de vie.
Soit un dispositif simple, à partir d’objets du quotidien, quelques tables, qui sont tout à tour évocateurs des reliefs d’un paysage, des souvenirs de tablées familiales…
Les fantômes sont de retour. (…).
Dossier projet jklmljmjPresse.s
© Photos Chantal Depagne