Mise en scène : Pierre Santini
Mise en scène : Pierre Santini
Scénographie/ Costumes : Raymond Sarti
Lumières : Alain Poisson
Avec :  Antoinette Moya, Victoire Theismann, Stéphane Slima, Pierre Santini

Louis est écrivain, « une des grandes consciences de notre époque », une « sommité ». Louis avait « une mémoire infaillible », mais depuis un certain temps, il la perd. Depuis exactement la mort de Winnie Scott, une poétesse qui fut son grand amour de jeunesse, et de qui il s’est séparé quelque vingt ans auparavant. Il perd ses mots, il confond les gens, il ne reconnaît plus les visages sur les photos, s’égare dans sa propre maison, ne retrouve plus ses propres livres. Il ne se souvient même plus pour quelles raisons il a fait venir Henri, un jeune homme ambitieux qui rêve de faire du cinéma. L’arrivée de Lise, une jeune fille de l’âge d’Henri, qui connaît tous ses travaux, le rassure un peu. Henri aide Louis à « reconstituer sa mémoire », en se faisant passer pour son fils. Mais Lise détient un lourd secret…

(..) une trop grande bibliothèque, ou non seulement les livres, mais également les souvenirs s’accumulent, et se consument, l’idée d’un incendie de la mémoire, l’amnésie de Louis, écrivain…