SCÈNE.S “Le corps utopique ou il faut tuer le chien !”
2016 Scénographie Art.s de la scène
“Le corps utopique ou il faut tuer le chien !”
de Nikolaus HOLZ
Mise en scène Nikolaüs Holz, Christian Lucas
Cie Pré-O-coupé Nikolaus
Nouveau Théâtre de Montreuil
-
Une idée de : Nikolaus HOLZ
Mise en scène : Christian LUCAS
Avec : Mehdi AZEMA, Pierre BYLAND, Ode ROSSET et Nikolaus
Scénographie : Raymond SARTI
Création lumière : Hervé GARY
Costumes : Fanny MANDONNET
Création sonore : Michel MAURER
Collaboratrice artistique : Aude SCHMITTER
Constructeurs : Daniel DOUMERGUE et Olivier GAUDUCHEAU
Régie plateau : Olivier GAUDUCHEAU et Yannos CHASSIGNOL
Régie générale, lumière et son : Maxime LEGRAND
Production : PRÉ-O-COUPÉ
La compagnie PRÉ-O-COUPÉ est conventionnée par Le ministère de la Culture — DRAC Île-de-France — la Région Île-de-France et le Conseil Général du Val de MarneCoproduction Cirque-Théâtre d’Elbeuf, Pôle National des Arts du Cirque de Haute Normandie — CIRCa, Auch Gers Midi-Pyrénées Pôle National des arts du cirque, La Verrerie d’Alès — Pôle National des arts du Cirque Languedoc Roussillon — Ville de Cournon d’Auvergne, La Coloc’ de la Culture, Théâtre de Cusset — Scène conventionnée cirque — Label scène régionale d’Auvergne, La Cascade — Pôle national des Arts du cirque Bourg St Andéol
Avec le soutien du Plus Petit Cirque du Monde — Centre des Arts du Cirque et des Cultures émergentes | Ce spectacle a reçu le soutien financier du Ministère de la culture dans le cadre de l’Aide à la Création de la DGCA et de la SPEDIDAM.
Remerciements Auvergne pianos, Comb’In L’Atelier Philippe Lenoir, Atelier Musical Pianos Eric Callégari, Atelier du piano Guillaume Le Barbier, Nouveau Théâtre de Montreuil.
(…) Depuis vingt ans et sans nez rouge, Nikolaus renouvelle l’art du clown. Au sein d’un quatuor, il fait cette fois l’éloge du déséquilibre et de l’échec en beauté. Incisif et toujours généreux.
-
Un jeune routard, un colonel de la gendarmerie, un vieux professeur et sa secrétaire sont réunis pour un débat public sur la sécurité. L’imprévu jaillit sans crier gare et c’est l’escalade. Au milieu du désordre, Nikolaus, deux acrobates risque-tout et Pierre Byland — figure de l’histoire du clown —, multiplient les exploits. Ils rebondissent d’une pirouette sur mât chinois à un invraisemblable numéro d’équilibre, jonglent et chantent comme au music-hall. Les apparences se délitent, chacun révèle sa folie, sa fragilité, son humanité. Ces cousins de Beckett ou Laurel et Hardy ripostent face à la peur, avec les armes du gag, de l’humour absurde et de la poésie visuelle. Clown, jongleur et auteur de spectacles, Nikolaus est une espèce rare de philosophe. Il rappelle que rire de soi est salvateur face au chaos : « C’est une distance avec soi-même et la condition pour que l’autre existe ». Dans Le Corps utopique, la magie de la réussite inespérée se mêle à l’émotion devant l’humain qui, simplement, rate… et recommence ! (…)
-
(…) Tout commence toujours bien avec Nikolaüs, dans ses spectacles, et puis de fil en aiguille, de détails en détails, les choses basculent, le temps s’accélère…
Le corps utopique c’est d’abord Foucault, les hétérotopies, bien entendu… Mais c’est aussi la question primordiale «Qui a tué le chien ?»…
Et là cela commence à déraper. Au début, un lieu qui pourrait être une de ces très désespérantes salles polyvalentes que la France connait.
Un débat autour du vivre ensemble qui n’arrive pas à commencer, à prendre corps…
Phrase de communiquant «de seconde zone», quand l’incompréhension est totale, que la cité dérape… Mais les temps changent, malgré tout, un coup de
rénovation sur le plateau, des échaffaudages, de la peinture, des gravats, signes d’un changement utopique.. Autant d’agrès, de prétextes pour défier le temps et l’espace au travers des états de corps (…)
© Crédits photographique en cours…
Dossier projet
2016 Scénographie
Art.s de la scène
“Le corps utopique ou il faut tuer le chien !”
de Nikolaus HOLZ
Mise en scène Nikolaüs Holz, Christian Lucas
Cie Pré-O-coupé Nikolaus
Nouveau Théâtre de Montreuill
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Une idée de : Nikolaus HOLZ
Mise en scène : Christian LUCAS
Avec : Mehdi AZEMA, Pierre BYLAND, Ode ROSSET et Nikolaus
Scénographie : Raymond SARTI
Création lumière : Hervé GARY
Costumes : Fanny MANDONNET
Création sonore : Michel MAURER
Collaboratrice artistique : Aude SCHMITTER
Constructeurs : Daniel DOUMERGUE et Olivier GAUDUCHEAU
Régie plateau : Olivier GAUDUCHEAU et Yannos CHASSIGNOL
Régie générale, lumière et son : Maxime LEGRAND
Production : PRÉ-O-COUPÉ
La compagnie PRÉ-O-COUPÉ est conventionnée par Le ministère de la Culture — DRAC Île-de-France — la Région Île-de-France et le Conseil Général du Val de MarneCoproduction Cirque-Théâtre d’Elbeuf, Pôle National des Arts du Cirque de Haute Normandie — CIRCa, Auch Gers Midi-Pyrénées Pôle National des arts du cirque, La Verrerie d’Alès — Pôle National des arts du Cirque Languedoc Roussillon — Ville de Cournon d’Auvergne, La Coloc’ de la Culture, Théâtre de Cusset — Scène conventionnée cirque — Label scène régionale d’Auvergne, La Cascade — Pôle national des Arts du cirque Bourg St Andéol
Avec le soutien du Plus Petit Cirque du Monde — Centre des Arts du Cirque et des Cultures émergentes | Ce spectacle a reçu le soutien financier du Ministère de la culture dans le cadre de l’Aide à la Création de la DGCA et de la SPEDIDAM.
Remerciements Auvergne pianos, Comb’In L’Atelier Philippe Lenoir, Atelier Musical Pianos Eric Callégari, Atelier du piano Guillaume Le Barbier, Nouveau Théâtre de Montreuil.
(…) Depuis vingt ans et sans nez rouge, Nikolaus renouvelle l’art du clown. Au sein d’un quatuor, il fait cette fois l’éloge du déséquilibre et de l’échec en beauté. Incisif et toujours généreux.
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Un jeune routard, un colonel de la gendarmerie, un vieux professeur et sa secrétaire sont réunis pour un débat public sur la sécurité. L’imprévu jaillit sans crier gare et c’est l’escalade. Au milieu du désordre, Nikolaus, deux acrobates risque-tout et Pierre Byland — figure de l’histoire du clown —, multiplient les exploits. Ils rebondissent d’une pirouette sur mât chinois à un invraisemblable numéro d’équilibre, jonglent et chantent comme au music-hall. Les apparences se délitent, chacun révèle sa folie, sa fragilité, son humanité. Ces cousins de Beckett ou Laurel et Hardy ripostent face à la peur, avec les armes du gag, de l’humour absurde et de la poésie visuelle. Clown, jongleur et auteur de spectacles, Nikolaus est une espèce rare de philosophe. Il rappelle que rire de soi est salvateur face au chaos : « C’est une distance avec soi-même et la condition pour que l’autre existe ». Dans Le Corps utopique, la magie de la réussite inespérée se mêle à l’émotion devant l’humain qui, simplement, rate… et recommence ! (…)
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(…) Tout commence toujours bien avec Nikolaüs, dans ses spectacles, et puis de fil en aiguille, de détails en détails, les choses basculent, le temps s’accélère…
Le corps utopique c’est d’abord Foucault, les hétérotopies, bien entendu… Mais c’est aussi la question primordiale «Qui a tué le chien ?»…
Et là cela commence à déraper. Au début, un lieu qui pourrait être une de ces très désespérantes salles polyvalentes que la France connait.
Un débat autour du vivre ensemble qui n’arrive pas à commencer, à prendre corps…
Phrase de communiquant «de seconde zone», quand l’incompréhension est totale, que la cité dérape… Mais les temps changent, malgré tout, un coup de
rénovation sur le plateau, des échaffaudages, de la peinture, des gravats, signes d’un changement utopique.. Autant d’agrès, de prétextes pour défier le temps et l’espace au travers des états de corps (…)
© Crédits photographique en cours…
Dossier projet
2016 Scénographie Art.s de la scène
“Le corps utopique ou il faut tuer le chien”
de Nikolaus HOLZ
Mise en scène Nikolaüs Holz
Christian Lucas
Cie Pré-O-coupé Nikolaus
Nouveau Théâtre de Montreuil
-
Une idée de : Nikolaus HOLZ
Mise en scène : Christian LUCAS
Avec : Mehdi AZEMA, Pierre BYLAND, Ode ROSSET et Nikolaus
Scénographie : Raymond SARTI
Création lumière : Hervé GARY
Costumes : Fanny MANDONNET
Création sonore : Michel MAURER
Collaboratrice artistique : Aude SCHMITTER
Constructeurs : Daniel DOUMERGUE et Olivier GAUDUCHEAU
Régie plateau : Olivier GAUDUCHEAU et Yannos CHASSIGNOL
Régie générale, lumière et son : Maxime LEGRAND
Production : PRÉ-O-COUPÉ
La compagnie PRÉ-O-COUPÉ est conventionnée par Le ministère de la Culture — DRAC Île-de-France — la Région Île-de-France et le Conseil Général du Val de MarneCoproduction Cirque-Théâtre d’Elbeuf, Pôle National des Arts du Cirque de Haute Normandie — CIRCa, Auch Gers Midi-Pyrénées Pôle National des arts du cirque, La Verrerie d’Alès — Pôle National des arts du Cirque Languedoc Roussillon — Ville de Cournon d’Auvergne, La Coloc’ de la Culture, Théâtre de Cusset — Scène conventionnée cirque — Label scène régionale d’Auvergne, La Cascade — Pôle national des Arts du cirque Bourg St Andéol
Avec le soutien du Plus Petit Cirque du Monde — Centre des Arts du Cirque et des Cultures émergentes | Ce spectacle a reçu le soutien financier du Ministère de la culture dans le cadre de l’Aide à la Création de la DGCA et de la SPEDIDAM.
Remerciements Auvergne pianos, Comb’In L’Atelier Philippe Lenoir, Atelier Musical Pianos Eric Callégari, Atelier du piano Guillaume Le Barbier, Nouveau Théâtre de Montreuil.
(…) Depuis vingt ans et sans nez rouge, Nikolaus renouvelle l’art du clown. Au sein d’un quatuor, il fait cette fois l’éloge du déséquilibre et de l’échec en beauté. Incisif et toujours généreux.
-
Un jeune routard, un colonel de la gendarmerie, un vieux professeur et sa secrétaire sont réunis pour un débat public sur la sécurité. L’imprévu jaillit sans crier gare et c’est l’escalade. Au milieu du désordre, Nikolaus, deux acrobates risque-tout et Pierre Byland — figure de l’histoire du clown —, multiplient les exploits. Ils rebondissent d’une pirouette sur mât chinois à un invraisemblable numéro d’équilibre, jonglent et chantent comme au music-hall. Les apparences se délitent, chacun révèle sa folie, sa fragilité, son humanité. Ces cousins de Beckett ou Laurel et Hardy ripostent face à la peur, avec les armes du gag, de l’humour absurde et de la poésie visuelle. Clown, jongleur et auteur de spectacles, Nikolaus est une espèce rare de philosophe. Il rappelle que rire de soi est salvateur face au chaos : « C’est une distance avec soi-même et la condition pour que l’autre existe ». Dans Le Corps utopique, la magie de la réussite inespérée se mêle à l’émotion devant l’humain qui, simplement, rate… et recommence ! (…)
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(…) Tout commence toujours bien avec Nikolaüs, dans ses spectacles, et puis de fil en aiguille, de détails en détails, les choses basculent, le temps s’accélère…
Le corps utopique c’est d’abord Foucault, les hétérotopies, bien entendu… Mais c’est aussi la question primordiale «Qui a tué le chien ?»…
Et là cela commence à déraper. Au début, un lieu qui pourrait être une de ces très désespérantes salles polyvalentes que la France connait.
Un débat autour du vivre ensemble qui n’arrive pas à commencer, à prendre corps…
Phrase de communiquant «de seconde zone», quand l’incompréhension est totale, que la cité dérape… Mais les temps changent, malgré tout, un coup de
rénovation sur le plateau, des échaffaudages, de la peinture, des gravats, signes d’un changement utopique.. Autant d’agrès, de prétextes pour défier le temps et l’espace au travers des états de corps (…)
Dossier projet jklmljmjPresse.s
© Crédits photographique en cours…